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Il fut l’heure d’Éole, l’antique régisseur des vents. Bienfaisant pour les voyageurs, il alimentait alors la passion des premiers colons. Il souffla fort et longtemps ; puis il tourna : dorénavant il venait du Sud. La France perdit l’Algérie et les Algériens gagnèrent la France. Mais à son paquebot, le Front National hissait la dernière voile. C’était en 1972. D’abord battu de tout vent, le navire semble devenir abordable.
La mise au ban immédiate
Au cours d’un congrès bigarré de l’Ordre Nouveau, le 5 octobre 1972, les diverses tendances de la droite nationale s’unirent pour préparer les législatives de 1973 au sein d’une structure appelée le Front National pour l’Unité Française. Il y avait là des anciens résistants (Georges Bidault était le successeur de Jean Moulin à la tête du Conseil National de la Résistance) et des anciens « collabos », des anciens de la milice (François Brigneau) et de la division Charlemagne (Pierre Bousquet), des jeunes d’Occident (Dominique Chaboche) et du GUD (Alain Robert), etc. : tous putschistes de cœur, patriotes avant toute chose et anticommunistes primaires [1] . Les fascistes romantiques, les Gaulois idolâtres, les enfants de la Révolution et quelques traditionalistes intransigeants, ennemis de toujours, se réunissaient devant l’urgence de la situation et désignaient Jean-Marie Le Pen comme chef de la résistance nationale.
Cette assemblée suscita, en son sein, une sorte de réflexe myotatique : l’étirement « pluriel » devait être compensé par une contraction : l’anticommunisme . Cet anticommunisme sera organique, presque involontaire, et donc d’une violence incontrôlable. Il est le coup de pied automatique qui suit la tape sur le genou ; coup de pied au tibia du non moins violent – mais bien mieux introduit depuis la fin du régime de Vichy – parti des « 4000-fusillés-au-maximum » qui a tout de suite pris en grippe ce parti qui lui était résolument farouche.
Pourtant, l’Ordre Nouveau n’était pas, lors de sa création (disons, fin 1930 avec l’arrivée de Arnaud Dandieu et Robert Aron), si éloignée de certaines thèses socialistes : Dandieu, tête pensante du groupe, lut beaucoup Proudhon et écrivit dans Europe, revue marxisante et pacifiste. Néanmoins, ce mouvement préconisait un ordre nouveau, comme son nom l’indique : il dérangeait donc l’oligarchie en place, et ce, bien plus que les pseudo-communistes qui soutinrent l’ancien propagandiste de Combat, François Miterrand, en 1974.
Le Front National était le bouc émissaire parfait. Non seulement il était le mouton noir, car différent, d’un système qu’il critiquait mais il pouvait facilement être affublé de tous les avis négatifs que communistes & étudiants avaient arrêtés et imposés à la France de l’après-guerre. Tout naturellement, aucune de ses idées ne fut reçues avec curiosité & bienveillance. Au contraire, elles ne suscitèrent qu’amalgames & mépris.
Des amalgames & du mépris
La violence des débats d’alors occulta le programme, élaboré pour les législatives de 1973, intitulé Défendre les Français, qui est généralement résumé en sept points :
C’est un programme si lisse qu’il en est presque télévisuel, cathodique ; si lisse qu’il en devient louche. Le Front National cède à la démagogie poujadiste ou représente respectueusement le peuple, selon. Le parti de Jean-Marie Le Pen sera poursuivi jusques aujourd’hui par cette réputation de populisme, attribué avec mépris. Pourtant, le Front National était alors le seul parti, à contre-courant, à réclamer avec force ce qui est devenu une évidence pour la plupart des électeurs de droite : une réglementation très stricte de l’immigration. Cette idée, a contrario de toute « bien-pensance » est-elle populiste ? C’est une question qui mérite d’être posée et mais sûrement pas d’être résolue en un revers de manche dédaigneux, surtout par des partis qui réussissent à ameuter la majorité du peuple et qui n’ont le droit qu’à l’euphémique « démago » en place de l’odieux « populiste ».
L’immigration est un problème extrêmement neuf. Le monde d’hier, l’Europe qui vit la jeunesse du Viennois Stephan Zweig, ne connaissait (presque) que circulations individuelles libres (l’écrivain voyageait dans toute l’Europe et même aux Indes sans passeport) et invasions barbares (qui, chaque fois, réclamaient les armes). L’immigration actuelle, plus massive que l’invasion, moins belliqueuse, souvent motivée par le même intérêt financier & le même désir d’une vie nouvelle que les grands départs familiaux, n’a pas de remède éprouvé par la coutume ou vérifié par la religion. Or en ce sanglant XXe siècle, seules les guerres et les puissantes ligues des années 30 mirent à l’honneur les frontières. Ainsi, la réduction de l’immigration est associée, dans l’inconscient collectif, aux « événements » de février 1934 en France et en Autriche, à la montée du national-socialisme en Allemagne, à l’organisation de mouvements de jeunesse en Italie ou en Espagne, au réarmement progressif de l’Angleterre. Pourtant c’est bien l’angélisme qui présidait dans les conseils d’alors qui laissa la Belgique se faire envahir : la parole et le droit ne suffisent à protéger une frontière, les Allemands ne se sont pas gênés. L’immigration, donc, est un problème nouveau auquel seuls des mouvements fascistes, réactionnaires, violents, antiparlementaires, antijudaïques, anticommunistes, anti-Société-des-Nations – ou presque – ont apporté des réponses. Sa réduction est donc considérée, très largement inconsciemment, comme un manque de confiance agressif plutôt qu’une défense humaniste (des pauvres qui souffrent déjà dans les frontières, d’un mode de vie fondé sur une culture propre et même de la confiance accordée à celui qui voyagerait par intérêt culturel – et non financier).
N’était-il pas alors facile de prendre la priorité (devenu « préférence ») nationale pour du racisme ? Ou de s’insurger à chaque bon mot de Jean-Marie Le Pen plutôt que d’en rire ? Chacun sait que l’indignation est rarement réfléchie et toujours sélective. En tout cas, elle n’est pas chrétienne. A cet effet, Bernanos disait, dans Les enfants humiliés, « Qui s’indigne ne peut échapper à la contrainte torturante de l’examen particulier, dont la conclusion lui sera toujours défavorable, puisque l’indignation n’est rien si elle n’est le cri spontané d’une conscience outragée par le scandale et qui ne se sent pas la force de se consommer tout entier, à l’exemple des saints et des héros, dans la prière ou dans l’action. Si Notre Seigneur ne s’était indigné contre les pharisiens, j’écrirais volontiers que l’indignation est un signe de faiblesse, mais quoi ! nous savons bien que ce qui crie en nous n’a pu retenir son cri, nous souhaiterions que cette part douloureuse de notre être gardât le silence par vertu, nous ne la désirerions pas inerte et passive sous l’aiguillon du mensonge. Dieu veuille que nous regardions un jour l’injustice d’un regard assez lucide, assez pur, de part en part, pour l’accepter sans la subir. ». Si l’indignation poursuit le Front National, c’est qu’il dit les scandales contre lesquels nous ne luttons : le scandale de la diminution de la liberté, le scandale du traitement des immigrés, le scandale de l’insécurité, le scandale d’un pays décadent, et le scandale, surtout, de notre peur de l’autre. Le Front National les exhume des profondeurs de nos consciences, ces peurs qui troublent bien plus nos sommeils que le revenu mensuel de Martin Bouygues. Mais nous n’y toucherons pas car nous n’en avons pas la force. C’est le « temps du sommeil », comme disait Brasillach d’une autre époque, mais qui est en fait la nôtre car elle est de celle qui précède toute guerre. [2] Cette indignation qui au fond, repose sur une situation nouvelle que nous aurions tous préféré éviter, s’est vite épanchée dans l’amalgame, lequel est plus simple que la réalité. Comme sa mère, l’amalgame est rarement réfléchi et toujours sélectif. Il évite toute réflexion inconfortable. Il permet de rassurer la « bonne foi ». Il empêche la douloureuse conversion. Alors, « pas d’amalgame, surtout pas ! ».
De nombreuses enquêtes, parfois infiltrées, toujours exclusives, firent donc état du racisme, du sexisme ou de l’antisémitisme du Front National quand ils n’avaient seulement entendu calembredaines ou gaudrioles. Pourtant, Jean-Marie Le Pen a expliqué à maintes reprises qu’il avait perdu son œil à la suite d’une cataracte contractée lors d’une bagarre électorale, en 1958, pour défendre Ahmed Djebbour [3]. Un nom qui n’est pas franchement de souche. Il va d’ailleurs soutenir la candidature de ce Français de confession musulmane. Élu député d’Algers en 1958, il sera, grâce au soutien de Jean-Marie Le Pen, le premier député musulman de France ! « Ses partisans soulignent quant à eux que son équipe comporte des personnes d’origines diverses, de confession juive comme Jean-Pierre Cohen, d’origine maghrébine comme Farid Smahi, ou antillaise comme Huguette Fatna. Ils affirment aussi qu’une partie de la communauté juive de France se serait rapprochée de ses idées, ressentant une pression de l’antisémitisme en France dont la responsabilité serait à imputer en partie à l’immigration musulmane que Jean-Marie Le Pen estime responsable de nombreux maux. » [4]
Le contre-front médiocratique
Il suffisait, jadis, d’entretenir la confusion. En 1974, Jean-Marie Le Pen, candidat fringant d’un parti tout neuf, ne récoltait que 0,75% des suffrages. Il était facile de qualifier « d’extrême » un parti si marginal. Que cette qualification subsistât après la réussite de 1986 était un réel coup de force. Comme tout coup de force, il était organisé.
En 1986 se tenaient les premières législatives par scrutin proportionnel : 35 députés FN [5] arrivent au parlement. Quelques inquiets s’avisèrent alors de rappeler (notamment aux représentants de l’Union pour la Démocratie Française ou du Rassemblement Pour la République) dans un article du Monde [6], daté du 26 mars, le serment juré au B’naï B’rith [7] de ne faire aucune alliance avec le Front National. Un cordon sanitaire était déployé autour du FN.
Dans les années 90, le Front National fit de plus en plus parler de lui. Le départ de Bruno Mégret en 1998 [8] affecta durablement le parti. Depuis, selon Ambrogio Riva, « le Front n’est plus un parti digne de ce nom, ce n’est plus qu’une étiquette électorale. Il n’y a plus ni cadres, ni direction forte, ni argumentaires puissants et construits, ni implantations locales, ni militants, ni manifestations importantes, ni syndicats professionnels (qui commençaient à se mettre en place, notamment dans la police), ni maison d’édition de livres et de disques, ni organe de presse etc. ». Toutefois, le parti de la « droite nationale » continua son ascension jusqu’au fatidique 21 avril 2002.
Ce jour-là, la marche forcée de notre civilisation s’infléchit. Jamais peut-être nous vîmes la France si unie [9]. Les collégiens sortaient dans la rue, avec l’autorisation de leurs parents ; les journalistes s’improvisaient tribuns, même des plus sordides tribunes ; les politiciens se révélaient copains, se tenant tous la main ; les musiciens rebelles composaient, en vrais réactionnaires : Jean-Marie Le Pen venaient d’accéder au second tour. Si vous souhaitez vous imprégnez à nouveau de cette « unité perdue », en voici la meilleure manifestation : Fils de France, chanson écrite, composée et enregistrée au lendemain de second tour, en moins de 10 heures – l’urgence le réclamait – par Damien Saez.
« […]
J’ai vu, les larmes aux yeux,
Les nouvelles ce matin.
20% pour l’horreur,
20% pour la peur.
Ivres d’inconscience,
Tous fils de france.
Au pays des lumières,
Amnésie suicidaire.
[...]Nous sommes, nous sommes,
La nation des droits de l’homme,
Nous sommes, nous sommes,
La nation de la différence,
Nous sommes, nous sommes,
La nation des lumières,
Nous sommes, nous sommes,
À l’heure de la résistance. »
Force est de constater que Gustave Le Bon avait raison, « dans certaines circonstances données [ici, le choc émotionnel causé par les résultats du premier tour]... une agglomération d’hommes possède des caractères nouveaux fort différents de ceux que chaque individu qui la compose. La personnalité consciente s’évanouit, les sentiments et les idées de toutes les unités sont orientés dans la même direction... Il se forme une âme collective, transitoire sans doute, mais présentant des caractères très nets. La collectivité devient alors ce que j’appelle une foule psychologique. Elle forme un seul être et se trouve soumise à la loi de l’unité mentale des foules. » [10] Cette foule est éminemment suggestible aux « images simples et fortes » [11], « aux sentiments excessifs [et aux] affirmations violentes » [12], lesquels atteignirent le Front National de plein fouet. C’est un parti exsangue et complaisant [13] qui dut affronter la campagne droitière de Nicolas Sarkozy, en 2007, causé par la présence obsédante de François Bayrou.
La réalité
« Avons-nous pu être si longtemps abusés par le système, les média et même nous-mêmes ? N’y a-t-il point de fumée sans feu ? Pourquoi tant de haine ? », est-on pressés de réagir, avec ouverture et bon sens. Nous ne vous cacherons pas que le Front National a ses défauts.
Le Front National est un parti régulièrement agressif dans les mots & parfois dans les actes : si le goût de Jean-Marie Le Pen pour la bagarre n’est que la pointe de sa gauloise gouaille, elle n’excuse pas le goût invétéré de certains de ses cadres pour les tribunaux [14] !
Le Front-National tient un discours simpliste, sans nuance ni technique, pour rassembler tous les mouvements disparates qui s’opposent à l’oligarchie présente, pour unir derrière un même front les déçus de la gauche ou de la droite. Nous pouvons supposer qu’un Front National majoritaire poserait les même problèmes que l’Union pour la Majorité Populaire eut égard à la diversité des opinion qu’il lui faudrait satisfaire.
Jean-Marie Le Pen est un « fils de la Révolution » [15] ; Marine, du radical-socialisme : c’eût été nos plus grands ennemis, en d’autres temps. Peut-on faire plus républicain [16], plus socialiste [17], plus jacobin [18], plus laïc [19], plus nationaliste [20] que le parti de Marine Le Pen ?
Mais, les temps ont changé, les problèmes aussi. Le peuple Français en a pris conscience, en trois occasions principalement : le retour de la France dans l’OTAN, qui mit fin au consensus gaulliste ; le mépris du vote français sur la constitution, qui perça à jour la technocratie européenne ; l’ « occupation » [21] de la rue Myrha, qui fit monter au créneau quelques grand laïcs, du Parti Socialiste même ! Quand la patrie est menacée, ses enfants doivent la reconnaître. Certes, ils le font par l’abstraction de la Nation, « très fâcheuse dégradation de l’unité médiévale » [22], mais ils ne le feront pas par le « germanisme » ou « l’hitlérisme », que Maurras lui-même réprouvait avec force. [23]
Article également disponible sur Liberté Politique.
[1] Mais il suffit de lire le Capital pour devenir anticommuniste secondaire, disait Desproges.
[2] « La France avait besoin de chansons, de jouets. La France avait besoin de songes. La France sursautait parfois devant quelque cauchemar, mais elle se rendormait précipitamment. C’était le temps du sommeil. » Robert Brasillach, Notre avant-guerre
[3] Cette version des faits est souvent contestée mais qu’importe ! La démonstration de l’absence de racisme de la part du président du Front National la suit.
[4] Lu sur la page wikipédia de Jean-Marie Le Pen (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen), le 25 mai 2012.
[5] Plus exactement, 32 députés FN et 3 députés CNI affiliés au FN
[6] Consultable ici : http://christroi.over-blog.com/article-benoit-xvi-recoit-la-b-nai-b-rith-international-73786590.html
[7] Le B´nai B´rith (B´B´) est la plus ancienne et la plus grande organisation juive du monde, selon son site Internet. Fondée en 1843 aux Etats-Unis, elle est calquée sur les organisations maçonniques ; le préambule de sa Constitution affirme : « Le B’nai B’rith a pris en charge la mission d’unir les juifs dans la réalisation de leurs plus hauts intérêts et ceux de l’humanité ». Elle comprend près d´un demi-million de membres, organisés en « loges » et répartis dans 57 pays. En sa qualité d’organisation non gouvernementale, elle est présente dans différentes institutions internationales, dont l´ONU, l´UNESCO et le Parlement européen. Le nom « B´nai B´rith » signifie, en hébreu, « Fils de l´Alliance ». (Sources : apic/imedia/B’B’Europe– DICI n° 235 du 28/05/11)
[8] En raison, dit-on, de la politique interne du Front National.
[9] Depuis la victoire de la France à la coupe du Monde de Football, en juillet 1998.
[10] in Psychologie des foules, p. 3
[11] Pr. Catherine Rouvier, Gustave Le Bon, clefs et enjeux de la psychologie des foules, Terra Mare, 2012, p. 120
[12] Pr. Catherine Rouvier, Gustave Le Bon, clefs et enjeux de la psychologie des foules, Terra Mare, 2012, p. 121
[13] Jean-Marie Le Pen était bien plus cordial avec Nicolas Sarkozy qu’avec Jacques Chirac.
[14] Même si les élus frontistes, Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnish en première ligne, perdirent rarement devant le juge.
[15] Selon l’expression de René Rémond, grand spécialiste de la droite en France.
[16] Peut-être est-ce même le seul parti sincèrement républicain ?
[17] Les trente-cinq heures, la retraite...
[18] Marine Le Pen s’insurge clairement contre tout communautarisme et même, à mon grand regret personnel, contre les panneaux routiers bilingues en Bretagne !
[19] Le Front National ne disant pas explicitement islamophobe, sa condamnation des prières de rues est-elle d’un même coup celle de nos processions catholiques ?
[20] Personne n’ira le contester.
[21] L’expression est de Marine Le Pen, au moment où elle reprenait le flambeau de son père.
[22] Joseph de Maistre, Considérations sur la France in Œuvres, édition établie par Pierre Glaudes, Bouquins, Robert Laffont, 2007, p. 7
[23] A ce sujet, nous vous conseillons l’excellent article du non moins excellent Carl Moy Ruifey : « Brève réflexion hostile à la Nation » : http://lerougeetlenoir.org/les-contemplatives/breve-reflexion-hostile-a-la-nation
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