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Le terrorisme international a frappé hier soir la capitale autrichienne. Des hommes armés ont tiré sur les civils qui profitaient de leur dernière soirée de liberté avant un confinement national. Le bilan est actuellement de quatre morts et une quinzaine de blessés. Pourquoi Vienne ? L’un des axes d’explication est la place de l’Autriche dans le trafic mondial d’êtres humains.
Malgré un pouvoir politique plutôt hostile à l’immigration, celle que subissent les Autrichiens continue allègrement à mesure qu’explosent les arrivées d’étrangers en Europe. En 2019, 40% de la population viennoise n’a pas la nationalité autrichienne.
Cela s’explique, d’abord, par la place géographique qu’occupe l’Autriche : le pays constitue l’une des portes continentales majeures en Europe de l’Est, le trafic d’êtres humains transitant notamment par l’Albanie, et ayant pour provenance l’Afghanistan, le Bangladesh ou encore le Pakistan. Frontalière de l’Allemagne et de l’Italie, l’Autriche est un poste-frontière - et donc une brèche potentielle- vers l’Union Européenne.
(Principales routes de l’immigration clandestine, 2013)
Le pays est donc loin d’être une enclave consanguine rétive par principe à toute forme d’immigration étrangère. Au contraire, l’Autriche en subit les conséquences les plus directes, étant donné la dureté des obédiences musulmanes adoptées massivement par les populations de pays tels que l’Albanie ou l’Afghanistan.
Élément significatif, ce mardi 3 novembre, les douze suspects interpellés dans le cadre de l’enquête sur le massacre étaient tous d’origine étrangère. Ceux qui n’avaient pas de papiers autrichiens sont nés au Kosovo, en Tchétchénie et au Bangladesh (Heute).
Quelques jours après l’anniversaire du prophète musulman, la population viennoise a ainsi payé le sanglant tribut de l’immigration massive organisée, prouvant une fois de plus que l’islamisme est une conséquence et non une cause.
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