[COVID-19] Pfizer et Moderna, des tests controversés

Le professeur Doshi, en association avec la prestigieuse université du Maryland, a publié une étude compromettante vis-à-vis des vaccins Moderna et Pfizer.

« Il y a un manque de transparence sur les données » dénonce Doshi. Il est en effet très compliqué de connaître le contexte précis dans lequel furent effectués les tests des vaccins. Ce silence laisse planer le doute quant au sérieux et à l’objectivité des études réalisées. Les rares informations viennent essentiellement des communiqués de presse.

Cependant, face à ces zones d’ombre, Doshi a réussi à se procurer une autre source d’information. Il s’agit d’un document de 400 pages remplie de données, celui ci fut présenté à la Food and Drug Administration, cette administration américaine permet ou non à un vaccin d’être commercialisé. Or, selon le professeur, il en ressort que « l’efficacité des vaccins aurait été compromise d’une certaine manière parce que ceux-ci ont été réalisés en partie sur des patients suspects de covid-19 et sur des covid asymptomatiques non confirmés. ». Autrement dit, certains patients n’étaient pas nécessairement atteints de Covid-19, mais simplement suspectés d’être malade. Ainsi, pour les tests des vaccins Moderna et Pfizer, le nombre de patients covid-19 suspectés s’élève à 3410 cas. Cela n’est en aucun cas négligeable.

Les conclusions tirées de cette étude sont que le taux d’efficacité des vaccins n’est pas de 95%, comme annoncé, mais plutôt de 29%. Les chiffres annoncés officiellement par les laboratoires seraient donc, au mieux le fruit d’une inconsciente erreur, au pire mensongers et dangereux. Chose inquiétante, ce n’est pas le département officiel américain qui a découvert cela, mais juste une université privée.

Les Etats qui se sont montrés si réticents à l’usage de l’hydroxychloroquine par mesure de « précaution » ont-ils accepté ces traitements sans trop s’inquiéter de la véracité des analyses ?

Alexandre Saintine

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