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« Deus caritas est » (1 Saint Jean 4 :16). Dieu est amour. La loi du Créateur est ordonnée à la charité. Mais d’abord, il est nécessaire de définir les termes employés, car ils sont souvent compris sous des sens différents. Communément, l’amour se comprend comme étant un sentiment d’attachement, d’affection, d’attirance sentimentale. La charité s’entend comme un acte de bonté, de générosité. Mais dans l’absolu, le sens de l’amour ne peut être compris que si les définitions précédemment exposées ne sont pas dissociées. En cela, il est compris que Dieu est Amour. En effet, l’Amour le plus parfait, le plus beau et le plus pur, est non seulement celui de Dieu (« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé » (Saint Jean, 13 :34) « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Saint Jean, 15 :13)), mais aussi, EST Dieu (« Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour » (1 Saint Jean, 8)). Toutefois, lorsque l’on observe la situation du monde réel actuel, l’homme moderne a tendance à s’émanciper des principes immuables auxquels se sont, bien souvent, attachés ses pères. Le contemporain hérite cette tendance de la philosophie des lumières et de sa pensée libérale. Depuis plus de deux siècles, l’homme a tendance à évincer certains grands principes, pourtant intemporels, mais devenus selon lui archaïques. Bien entendu, si la liberté telle que nouvellement comprise est placée au centre de toutes choses, cela se fait au détriment de Dieu, qui voit ses Commandements de moins en moins respectés. La raison des hommes libres devient, seule, législatrice. Il s’agit donc d’analyser la tendance légale d’un monde émancipé de son Créateur. La question qui se pose, est celle de savoir si la loi de l’homme libre, est-elle aussi, à l’image de la loi divine, ordonnée à l’Amour éternel.
Si l’amour de Dieu est éternel, l’amour des hommes aspire-t-il à l’être également ?
L’amour, exempt de principes inflexibles, ne saurait effleurer une dimension d’éternité. Bien au contraire, il ne pourrait que s’en éloigner et devenir une tragique utopie (I). L’amour ordonné à des principes dogmatiques se fonde sur une volonté transcendante, et non propre, aux protagonistes de l’amour, pour que celui-ci acquière toute sa dimension d’éternité (II).
Le libéralisme a su modifier l’appréhension que les individus avaient de l’amour. Ainsi, certains arrivent aujourd’hui à douter de son existence même.
Le libéralisme sociétal à l’origine de l’amour insensé
Dans cette nouvelle conception du monde qui se dessine, l’homme s’estime d’abord bénéficiaire de droits avant de se considérer tenu par des devoirs. Au 18e siècle, l’homme déifie sa raison et met en bas l’autorité de son Créateur. Cette victoire de la « liberté », cette émancipation de l’homme, nie la faillibilité de la nature humaine pour faire de la raison un socle sur lequel reposeraient tous les principes qui en découlent. Les relations entre les hommes ne sont plus soumises à une autorité contraignante qui supplante toute chose, mais guidées par une raison plus ou moins libertaire, dictée par l’homme lui-même. Avec l’héritage d’une foi en Dieu de plus en plus floue, ou parfois même inexistante, l’homme, qui n’a plus rien à craindre, est inéluctablement dirigé par des principes hédonistes. La naissance de ce libéralisme sociétal est précisément la genèse de la catastrophe spirituelle qu’est l’individualisme. Nous voyons alors émerger des penseurs dotés d’un néant spirituel désolant. Ainsi, il est juste de dénoncer un certain Freud qui ne sait appréhender les relations hommes/femmes qu’au travers des rapports sexuels. Un esprit loué, mais pourtant incroyablement réducteur, est l’illustration parfaite de tout le paradoxe d’une société dite « évoluée ». Il me semble presque pouvoir dire que le progrès de nos sociétés dans certains domaines est proportionnel à leur régression morale et spirituelle. Les hommes, qui s’unissaient jusqu’alors devant Dieu et pour toujours, s’unissent désormais devant les hommes, jusqu’à ce que lassitude ou mésentente survienne, et que divorce les sépare. L’amour, alors considéré comme une grâce mystique et infiniment belle, est aujourd’hui presque considéré comme un lien anodin et usuel qui unit deux êtres pour une durée plus ou moins déterminée. En effet, avec l’instauration du divorce en France en 1792 (réinstauré par la suite en 1884), le mariage est perçu comme étant un contrat à durée indéfinie, mais non infinie, bien souvent doté d’une échéance. Le mariage, dit « civil », devient une formalité qui officialise l’union de deux amants aux seuls yeux des hommes. Alors qu’avec le mariage religieux, l’amour naturel, qui unit les amants, permet de comprendre la dimension surnaturelle de l’union éternelle qui lie l’homme à Dieu. Les arguments favorables au divorce prônent ses bienfaits en ce qu’il permet de mettre fin à des situations intenables. Il s’agit de se demander comment faisaient-on, alors, avant la création du divorce ? Avant le divorce, les cas minoritaires (car ils l’étaient) étaient réglés selon leurs spécificités, au cas par cas, de façon à mettre fin à ce qui ne saurait avoir lieu d’être. Mais jamais l’idée de généraliser l’anomalie minoritaire n’est venue à l’esprit de nos pieux ancêtres. En normalisant l’anomalie, nous l’avons généralisé. Soyons honnête. Le véritable argument à l’institution du divorce s’appuie sur le principe de liberté. En réalité, si aujourd’hui il est considéré que l’amour a un caractère éphémère, c’est d’abord pour mieux justifier les pulsions, sous l’empire desquelles sont les hommes séparés d’un véritable engagement et de principes (eux-même hérités, consciemment ou non, de l’enseignement de Dieu), qui les poussent à changer de partenaire et sortir finalement du cadre de l’amour, et le bafouer même, au nom d’une liberté inconditionnelle. S’ajoute à cela un facteur important permettant l’infidélité à l’amour. La société de consommation dans laquelle nous vivons. Une citation très pertinente illustre ce propos : « Lorsque l’on demande à un couple comment ils ont fait pour rester 65 années ensemble, la femme répond : "Nous sommes nés à une époque où lorsque quelque chose se casse, on le répare, on ne le jette pas." »
Le primat de la liberté au détriment de l’Amour
Si le contemporain a épousé sa promise « liberté », ce mariage n’a pu être consommé sans que l’amour en subisse les conséquences. En effet, si le libéralisme vide l’amour de son sens premier, il en est aussi le fossoyeur. La peinture d’une vie sentimentale contemporaine ressemble, pour un grand nombre de personnes, à celle qui suit. D’abord, des émotions incontrôlables s’emparent de nos êtres. Des promesses illusoires et insensées nous aliènent l’un à l’autre. Ces promesses sont ensuite non tenues. L’incompréhension et le désarroi, la tristesse et le désespoir s’installent alors dans nos cœurs brisés par cette tragédie. Souvent, la trahison nous écoeure de l’espèce humaine. Alors, la rancoeur et la haine occupent la place de ce qui fut auparavant de l’amour. La superficialité des sentiments, insupportable, nous pousse à exprimer un profond dégoût de tout. Après les premiers échecs, notre cœur devient dur comme la pierre. Nous perdons l’innocence originelle, nous perdons une partie de notre pureté intérieure, nous sommes véritablement vidés d’un pan de notre humanité. Celui-ci est arraché de force à nous-même, tel un pan rocheux branlant d’un mont élevé, qui se détacherait et s’écraserait avec fracas dans une vallée calme. L’évènement défigure complètement le paysage. C’est l’état de notre être. Pas forcément changé en apparence, mais véritablement défiguré en son for intérieur. Traumatisé, il faudra une longue période pour s’en remettre et en sortir métamorphosé. S’installe ensuite une nouvelle forme d’espoir où un désir de renouveau constant apparaît. L’autre n’est jamais comme il faudrait. L’instabilité est présente dans nos vies. Nous nous créons alors des critères impératifs que l’autre doit respecter pour que nous puissions nous y attacher. Nous devenons excessivement méfiant, la confiance que nous accordons est rare. Nous réifions alors l’être aimé qui est comme un objet de consommation que nous réclamons. C’est une forme d’offre à laquelle il apparaît une demande. (Ici réside la perte des notions fondamentales. L’amour véritable se fonde d’abord sur l’acceptation de l’autre tel qu’il est, et non tel que nous voulons qu’il soit. C’est là que s’exprime tout l’égocentrisme et tout l’hédonisme de cette société nouvelle où il faut absolument vivre d’abord pour soi. La considération du vivre ensemble est faussée par l’impératif besoin de satisfaire en priorité ses propres désirs avant de chérir un idéal d’union basé sur le socle d’un amour pur, respectant une volonté transcendant les désirs de chacun.) Alors, il y a de nouvelles rencontres, un espoir nouveau apparaît, une nouvelle vie et une nouvelle appréhension de cette dernière naît. Puis c’est la rechute. L’être humain étant faillible, nous ne trouvons dans le nouvel « autre » que déceptions, c’est l’argument suffisant pour justifier la rupture. La définition que nous donnons à l’amour évolue. Elle perd de son sens premier, il est compris différemment. Enfin, nous le rejetons. Nous perdons foi en l’amour et nous avons tendance à croire qu’il n’est qu’utopie, qu’il n’existe pas. Tous les rêves et illusions de notre jeunesse sont enterrés.
Il s’agit toutefois de nuancer ce propos car il existe des âmes éternellement optimistes et toujours en quête d’un idéal, qui gardent toujours foi en l’amour. Mais il est honnête de considérer que bien souvent, l’être blessé rejettera l’amour et cherchera autre chose à laquelle il pourra s’accrocher dans sa vie d’homme « libre ». Sans généraliser et prétendre qu’aujourd’hui, aucun couple ne tient toute une vie, le constat est net. Ceux-là même qui trouvent l’amour de leur vie sont de moins en moins nombreux. Or l’objectif d’une vie sensée n’est pas de chercher l’amour, que nous pensons parfait, en procédant par une succession d’expériences ; mais plutôt de faire de cette vie une œuvre splendide, en chérissant l’amour que Dieu aura placé sur notre chemin, et que nous aurons accepté avec gratitude. Dès lors, l’amour est vain lorsqu’il n’est pas éternel.
Une conception claire et logique de l’amour nous amène à reconsidérer la définition des concepts, et à se rattacher aux principes immuables qui sont la condition, car l’origine même, de l’amour.
Le nécessaire retour aux bases saines et aux définitions justes de l’amour
Si l’amour est vain dès lors qu’il n’est pas éternel, alors les hommes qui aspirent à vivre d’un amour éternel doivent nécessairement se référer aux fondamentaux, aux critères observés par leurs parents, in fine, qu’ils en aient conscience ou non, à l’enseignement du Créateur. Considérer l’amour dans sa dimension éternelle est une avancée sociétale, d’abord, pour une question de pur respect. En effet, l’engagement que nous prenons envers la personne aimée ne saurait être trahi, sinon par une flagrante absence d’honneur. Un nouveau parallèle avec le mariage est nécessaire car, qu’est ce que le mariage sinon un lien indéfectible unissant les êtres aimés ? Les époux sont tenus de respecter leurs promesses, de se soutenir et de se supporter toute la vie, dans les joies et les peines. L’un d’eux ne saurait abandonner lâchement l’autre dès lors qu’il s’apercevrait que les choses se compliquent. Le véritable amour, c’est supporter l’insupportable, c’est rendre possible l’impossible. L’amour ne naît pas du fait que nous soyons avec une personne et que nous nous créons des illusions sur cette dernière. L’amour naît de l’appréciation que nous avons des caractéristiques intrinsèques à ladite personne. Ces caractéristiques intrinsèques, nous les retrouverons des années après. Alors, nous aimerons toujours d’un amour plus fort cette personne avec qui nous avons décidé de partager notre vie, non pas seulement pour une question d’apparence physique ou d’un besoin sentimental incontrôlé, mais pour cette personne telle qu’elle est et telle que nous l’avons accepté. Pour toujours. Aussi, nous avons tendance à considérer l’être aimé comme « notre chose », comme si nous détenions un droit de propriété sur celui-ci. Par ceci, nous omettons d’admettre que l’autre est originellement extérieur à nous-même, qu’il est l’œuvre du Créateur, et que le véritable don est l’amour qui existe entre lui et nous-même. C’est uniquement par ce don que les êtres chers s’unissent pour ne faire qu’un et pour être possédés par ce qu’ils possèdent. Dès lors, avant d’avoir ce "droit de propriété", nous avons le devoir de prendre soin de l’autre, d’y accorder toute notre attention et de veiller à toujours vivifier la flamme de l’amour qui nous y unit. Aussi, la beauté est souvent la condition à l’union de deux personnes dans l’amour. Mais la beauté ne doit pas se limiter aux apparences extérieures. Elle se concentre aussi et surtout sur la grandeur de la vie intérieure d’une personne, sur ses vertus, sur sa capacité à aimer et à pardonner, sur sa pureté et sur son sens de la justice, sur son hygiène de vie et sur sa charité. Au lieu de considérer l’autre comme l’objet de nos désirs, cherchons plutôt en lui son aptitude à faire grandir la bonté qui doit nous habiter. Mais où donc est l’amour dans ces vies d’hommes et de femmes qui, sous couvert de quête de l’amour parfait, accumulent les expériences, se targuent d’enchaîner les conquêtes pour bâtir, sur du sable, un avenir plus qu’incertain ? Définitivement, enchaîner les conquêtes, c’est enchaîner les défaites. C’est un échec constant dans sa vie sentimentale et affectueuse. La pauvreté spirituelle s’installe dans ce cercle vicieux. En effet, comment aborder sereinement une relation, dès lors que notre passé regorge de souvenirs indécents au vu de l’union alors actuelle ? Comment offrir un amour exclusif à l’autre, dès lors qu’aucune exclusivité réelle ne lui a été offerte ?
Le respect des règles immuables de l’amour menant à l’Éternel
L’amour parfait se mérite en faisant des efforts incessants, en accordant toujours plus de compromis, en faisant un don total de sa personne. Ainsi, si nous voulons vivre dans l’amour éternel, car c’est de celui-là dont il s’agit, nous devons avant tout nous conformer à celui de Dieu. Nous devons tâcher de suivre l’enseignement du Christ qui est le modèle par excellence et qui nous y invite lui-même : « Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » (Mt. V, 48). L’homme aspire à la beauté et à la grandeur de l’amour sans fin. L’homme a besoin de Dieu, sans qui ses actions ne sauraient rester pérennes et garder cette mystique dimension éternelle. Avant donc de trouver notre amour terrestre, trouvons d’abord celui de Dieu, qui nous y mènera ensuite naturellement. Le bonheur et l’amour que nous offre Dieu, ne sont pas semblables à ceux des hommes se croyant libres dès lors qu’ils font ou ne font pas ce qu’ils veulent, quand ils veulent et comme ils veulent. Non, la véritable liberté est celle d’accomplir toute la volonté du Bon Dieu, et elle seule, en ce qu’elle nous mène à la béatitude parfaite. La liberté de l’homme émancipé du Tout Puissant ne sait que, sur un plus ou moins long terme, faire germer de son sein une insatisfaction perpétuelle et un profond désarroi du fait de sa nature faillible. Aussi, Dieu nous donne le mode d’emploi qui permet de vivifier la flamme éternelle de l’amour : « Quiconque regarde une femme avec convoitise, a déjà commis l’adultère avec elle, dans son cœur. » (Mt. V, 27-28) « Quiconque renvoie sa femme, hors le cas d’impudicité, la rend adultère ; et quiconque épouse la femme renvoyée, commet un adultère. » (Mt. V, 32) « Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l’Eglise et s’est livré lui-même pour elle. » (Eph. V, 25). Suivons son enseignement, au lieu de faire preuve d’indifférence devant tout l’amour qu’il nous offre, au lieu de préférer notre liberté qui nous aliène aux plaisirs, qui nous emprisonne dans les vices, qui nous éloigne de l’amour. Requalifions ce qui est communément appelé « amour », mais qui est périssable et voué à une fin. Cela, en effet, serait plus un ensemble de sentiments forts et désordonnés que de l’amour pur. L’amour, en son sens véritable, est bel et bien éternel.
Oui, l’amour est éternel. Et si, dans une de ses œuvres, Marcel Pagnol disait : « Il n’y a que les petits garçons ou les petites filles pour croire l’amour éternel. », alors, soyons ces petits garçons et petites filles qui, si naïfs et innocents soient-ils, sont avant tout humains, contrairement au vice malsain des grandes personnes qui, étreintes entre les griffes du Malin, s’éloignent de la pureté des petits enfants. (Mc X, 14) : « Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. »). Il est ainsi bien nécessaire de croire en l’amour afin d’obtenir le salut. Et cet amour doit être pur et parfait, donc, éternel. Pour souligner l’importance de l’amour, je cite enfin un prêtre catholique qui écrivait : « Ce qui classe définitivement les êtres dans le Royaume de Dieu, ce n’est ni la nature, si riche qu’elle puisse être, ni la fonction, mais la perfection de l’amour. » L’enjeu de nos vies est de pouvoir conserver le caractère intemporel de nos conditions, dans un monde où le temps dicte tout. Tâchons donc de mener nos vies de telle sorte, qu’à l’heure du jugement, lorsque chacun de nous passera devant le Grand Trône Blanc, nous puissions déclarer avec grande joie devant l’Éternel : « Et nos credidimus caritati ».
@DeSurvale
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